Sunday, April 2, 2023
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vent de fronde contre les salaires des mascottes, mieux payées que les stars féminines du basket américain


La divulgation de certains salaires exorbitants de mascottes NBA fait grincer des dents dans la ligue féminine (WNBA), où les stars sont assez largement moins bien payées.

L’info a pu faire sourire ou donner quelques idées de vocation. Mais la parution des salaires énormes de certaines mascottes d’équipes de NBA n’a pas du tout amusé en WNBA, la ligue féminine nord-américaine de basketball. Une agence de advertising and marketing et de sponsors du sport féminin américain s’est ainsi offusquée à la parution de ces informations mettant en évidence des salaires nettement supérieurs chez les mascottes que chez les joueuses stars de la ligue.

En début de semaine, le web site américain Hoops Addict a ainsi révélé que « Rocky The Mountain Lion » (« Le Puma ») empoche 625.000 {dollars} par an, soit plus de 52.000 {dollars} (52.800 euros) par mois. Il devance légèrement Harry The Hawk, mascotte d’Atlanta (600.000 {dollars} annuels, 50.000 {dollars} mensuels) et Benny The Bull (Chicago Bulls) complète le podium avec 400.000 {dollars} annuels. Go The Gorilla (Phoenix Suns, 200.000 {dollars} annuels) et Hugo The Hornet (Charlotte Hornets, 100.000 {dollars} annuels) complètent le High 5 de ce classement pour une moyenne des revenus des mascottes NBA estimée à 60.000 {dollars} annuels.

Les joueuses les mieux payées touchent 230.000 euros annuels

Le salaire de Rocky est ainsi nettement supérieur au high 3 des joueuses les mieux payées de WNBA qui émargent à 228.094 {dollars} annuels (230.000 euros). L’Américaine Diana Taurasi (Phoenix Mercury), légende du basket avec ses trois titres de championne WNBA et ses cinq médailles d’or consécutives aux Jeux olympiques (en plus de trois titres mondiaux), partage cette première place avec Jewell Loyd (Perfumerias Avenida) et Breanna Stewart (Fenerbahçe) située à des niveaux bien éloignés de Rocky et ses pairs.

« L’écart de rémunération entre les mascottes et les athlètes féminines d’élite vous dit tout ce que vous devez savoir sur la façon dont l’industrie du sport valorise les femmes », s’est offusquée la fondatrice de Aim Sports activities, qui se définit comme la première agence advertising and marketing du sport féminin.

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